Paul JOUVE (1878-1973)

Grand Duc ébouriffé, c. 1928

Huile sur papier marouflé

Signé en bas à gauche

Haut. 54 cm Larg. 72 cm

Historique

Jouve utilisera cette peinture comme modèle pour le Grand duc ébouriffé, qu'il choisira de faire figurer dans le portfolio des eaux fortes édité par Apollo pour la Galerie Weill en 1930.

Jouve choisira également cette peinture digne de figurer dans la biographie écrite par Charles Terrasse et publiée en 1948.

Charles Terrasse écrit à propos de cette peinture :
« Jouve, lorsqu’il peint un grand-duc, fait passer dans son oeuvre la beauté décorative avant tout. Témoin ce grand-duc représenté de face, plié sur ses pattes, sa tête aux yeux ronds de chat, abaissée, tout autour de lui la gloire de ses plumes en éventail. »

Il utilisera également ce motif comme cul de lampe pour illustrer les Paradis terrestres de Colette en 1932 (cul de lampe page 50).

Exposition (sélection)

Galerie Colette Weill, 71 rue de la Boétie, Paris, janvier 1930.

 

Exposition Paul Jouve, Galerie Giraudo,

6 Avenue de l’Opéra, Paris, du 6 au 21 juin 1946.

 

Salon des Artistes Français, section peinture. 1948.

Salon de 1948 au Palais de New-York à Paris.

Exposé sous le numéro 625

Bibliographie (sélection)

Paul Jouve, Félix Marcilhac. Les éditions de l’Amateur, Paris 2005

Reproduit en couleurs p.158 et p.368

Paul JOUVE (1878-1973) - Grand Duc ébouriffé, c. 1928
Paul JOUVE (1878-1973) - Grand Duc ébouriffé, c. 1928